Nom Prénom ¤¤ White, Joleene Lily Aurore.
Age Date de Naissance ¤¤ Jolee est née le 13 août 1987, et elle a donc 20 ans.
Nationalité ethnique ¤¤ Italiano-Américaine.
Famille ¤ ¤On m'a souvent dit que j'étais issue de la moins noble des races. Et alors ? Quel est le plus à plaindre dans tout ça ? Mon apuvre père, ayant travaillé toute sa vie jusqu'à l'épuisement pour nourir deux gosses ingrats ? Ou moi, cadette d'une famille tellement gonflée et cruelle... Sûrement pas moi. Mes parents.
J'espère quand même qu'ils savent que je les haïs. - Joleene White -.
Mon père tout d'abord.Un brave homme, fort, robuste, grand, brun aux yeux émeraude, comme tous ceux qui nés en Bohème. Un italien de pure souche, l'un de ces beaux parleurs à l'accent déplacé, et qui n'ont assurémen tjamais connu de déboire en amour. Giovani Enriche Julio Fernandez n'aurait jamais eut rien à reprocher à personne, si seulement il avait était un peu plus à la maison, auprès de sa famille. Il a était pour moi, tout ce que tout le monde à était. Ni un père, ni un ami, et encore moins un repère. Juste un ramène fric à la maison... Et un week end par moi. Giovani a toujours aimait ma mère, mais disons que celle-là a toujours été une vulgaire putain. Après s'être fait engrossé deux fois par mon père, elle le quitta, envoyant un joli courrier dans leur boîte aux lettres alors que mon père payait les vacances que l'on passait à la montagne.
P'pa... Je sais pas quoi dire... Cet appareil est...
Magnifique... Mais... Ta pension... Maman va encore piqué une crise... - Joleene White -.
Ma mère s'appelle Sharleen White, elle est... Spéciale, comme qui dirait. Ca n'est pas une mère modèle, bien au contraire, plus indigne qu'elle, on meurt. Cette femme est diabolique. Elle fait les enfants comme si c'était des erreurs, ou une neccessité. Après avoir emplumé mon père, elle empluma le père de James et celui de Joey, mes deux petits frères. Mon frand frère, Jack, a le même père que moi, et on se demande si ce n'est pas pour plus lui soutirer de l'argent. Ma mère est une chomeuse de longue duée, elle vit sur le dos des trois hommes de sa vie, sans que nous, ces enfants, ne portions leurs noms. Je dois avoir hériter du caractère de ma mère, car elle est aussi mauvaise et teigne que moi !
Maman, malgré tout mon respect, va te faire fou*** - Joleene White -.
Parlons de mon frère aîné, Jack. Jack White est le malêtre sans pareil. Personne mal dans sa peau, il souffre énormément des déluges sexuels de ma mère, et surtout de la famille entière. C'est la personne qui m'est le plus proche, bien avant ma mère, Malvin et les autres ! Il est de mon sang et de ma chair, et nous nous ressemblons énormément. Il a tenté plusieurs fois de mettre un terme à ses jours, et expérimente souvent celà sur les chiens de mon demi frère, Joey. Il est tellement sensible, et tellement extravertit... Il est bien trop rêveur, et descend bien vite de son nuage. Malgrés ses deux ans de plus que moi, je pense être plus mature que Jack, bien que celui-ci se retrouve parfois troublant, terre à terre et choquant dans ses propos.
Hey, Jack... Je crois que j'ai tué Jude. - Joleene White -.
Un an après moi est né Joey White, de son père allemand Gunther Swertrüng. Il n'est pas comme Jack et moi, il est d'un blond pétard et à des yeux bleus. Il n'est pas aussi grand de Jack, et à un an de moins que moi. C'est le larbin de la famille, le petit intello qui pourrait être ami avec Malvin si seulement il avait des amis... C'est un associal, une teigne et c'est pourquoi on l'appelle Bosh. C'est le genre de petite teigne que je peux pas blairer, et c'est pourquoi j'ai du lui casser la gueule deux fois. La première fois a était avorté par Jack, la deuxième par son père. Je ne l'aime pas, c'est physique.
Tu veux connaître un secret Joey ? Oui ? Ca te tente ?
Ecoute... Personne ne t'aime. - Joleene White -.
Un an après Joey, James est né. Son père s'appelait, car il est décédé juste après avoir rompu avec ma mère, Aimeric Blanchais, un beau français aux cheveux clairs, mais pas blond. James est un garçon adorable ! Il est tellement chou ! C'est mon petit frère, et il en convient que je le protège, au lycée comme à l'université. J'ai du faire plusieurs bagarres pour lui éviter les ennuis, car comme tous les Whites, il a le truc pour se fourrer dans des situations plus ou moins embêtantes, mai sil n'a pas la hargne des Fernandez, et c'est pourquoi je dois toujours prendre sa défence. Je pense qu'il m'aime bien... Et de mon côté, il est à moi.
Tu sais que t'es un boulet parfois, James ?
Faudrait p'être comprendre que je pourrais pas défoncer tout le monde ! - Joleene White -.
Et encore de ma famille, il y a Blue et Red. Ceux sont les chats de la famille. Red est une jeune chatte écaille de tortue, à peine âgé de cinq mois, quand à Blue, il est déjà vieu ce gros pépère, et il environne déjà les dix sept ans ! C'est un bleu russe ! Ceux sont les amis de tout le monde, et seule Joey semble y avoir une dent contre. Ma mère aussi les aime pas, mais le jour où elle aimera quelque chose d'autre que son fric et le sexe, elle...
Section Choisie à l'Université ¤¤ J'ai du choisir Art de la Photographie...
Langues parlées et comprises ¤¤ Je parle l'anglais, le français, l'italien, et commence l'allemand avec Joey et ses jurons.
Métier ¤¤ Je vis sur le dos de ma mère, ça devrait suffir à vivre.
Caractère ¤¤[...] Quel est votre nom ? Serais-ce un synonyme de Pureté ? [...]
Non connard, c'est le nom d'ton cauchemar ! - Joleene White -.
Her heart's bloodstained egg
We didn't handle with care.
It's broken and bleeding
And we can never repair.
Croque moi, mange moi, tue moi...
Mais ne rate pas, car moi je ne te ratterais pas. - Joleene White -.
Je ne me comprends pas moi même. Parfois, je voudrais changer de peau. J'ai l'impression d'être différente, et certainement que je le suis. Je suis hors norme, je suis celle qui flanche le genoux quand les autres sont fiers, celle qui hurle quand les autres sont calmes, celle qui trouve toujours des défauts et qui a des idées sur tout, sur n'importe quoi. Je ne pense pas être folle, mais peut être un peu dérangée. J'ai vécu tellement de chose hallucinante, parfois même exagéré, que mon esprit s'en est retrouvé tordu et flou. J'ai souffert de tellement de chose, que mes veines se gonflent à chaque infection de mes nerfs. Je suis colérique, dit on, sûrement, et lunatique de surplus. D'un simple petit coup de vent je passe à la tempête, et d'un calme surnaturel, je passe aux coups de poings et de pieds.
Hey, la furieuse, tu peux te calmer, non ? Non ? Bon, okay... - Joey White -.
Je suis la furie des White, celle que l'on respecte malgré qu'on la haït, celle que l'on voit de loin sans se dire une seule bonne chose à son égard, non, que des maudits, on memaudit et je le suis. Je les haït tous pour leurs communs, ils sont tous si identiques, si pareils aux autres, et voient en eux le pâle reflet de la société. Tous autant qu'ils sont ! J'ai été manipulé par tout le monde, jusqu'à que j'ouvre les yeux. J'ai compris alors que les moutons sont fait pour être bouffer, et je ne voulais pas finir dans la gueule du loup, à crier dans les bois comme le petit chaperon rouge, car on nous ment. Il n'est pas allé voir le bucheron, et la grand mère n'a jamais été en vie. Elle est morte, et le chaperon rouge aussi. Je suis franche, et je n'ai aucune envie de mentir à tout le monde sur moi. Alors je ne dis rien, et c'est celà qui vaille le mieux.
Tu sais que t' va un peu fort parfois ? - Malvin -.
Je suis versatile, méchante, détestable, hargneuse. Il n'y a pas à dire, on me prend pour ce que je ne suis pas. On me traite, on jure de loin mais personne ne s'approche, ils ont tous trop peur, ils ont tous l'envie d'en finir avec moi sans pour autant vouloir le faire. On aimerait tant que je me fasse écraser... J'ai déjà essayer, mais plusieurs fois mon bus m'a esquiver, et je ne veux pas finir estropier. Morte ou rien. Je ne crois avoir déjà aimer quelqu'un... A part lui. Lui était tout pour moi, une idylle, un rêve. Mais vous savez comment sont les humains, et surtout les hommes, leurs entrejambes dictent leur vie et il s'est barré avec une autre. Une plusse jolie, une petite blonde à qui j'ai pété la face, et trois dents avant de lui cassé le bras droit. C'est ce que mon psychologue appele un choc moral qui entraîne une colère excessive et un désir monstrueux de meurtre envisageait par une haine retranché. En autre, je l'aurais crevé si mon coeur n'avait pas vu ses yeux. Les humains sont mauvais, mais que dire de moi ? Versatile et presque délicieusement haineuse, toute ma rage n'a de sens que lorsque je l'exprime.
Tu me fais peur là... - Malvin -.
Comment l'exprime t-on ? A part la photographie, avec les poings. On me connaît de loin, sans jamais m'adresser la parole. On joue de moi comme on jouerait d'une souris, mais je suis le chat. On se croit fort à vouloir raconter ma vie, mais qu la connaît réellement hormis Jack ? C'est dans ces moments que je joue l'ironie voltairienne. Je vous regarde, je souris, je m'approche et je vous frappe. Ô combien de fois m'a t-on prise pour une amie, alors que j'étais sûrement le venin qui vous tuerait ! Pardonnez-moi, mon psy dit que c'est mes nerfs qui me rendent si méchante.
[...]
Comportement ¤¤Je suis dé-tes-ta-ble. Comem dit plus haut, je vous souris et vous poignarde avant que ce soit votre couteau qui me tue. Comprenez moi, de la prudence je m'approche et je saisit, et de la hargne je vous frappe. On appelle celà de l'autoprotection, et disons que j'en suis la championne. Je ne suis pas quelqu'un de sociable, alors peu de personne vienne me voir, hormis les ignorants de ma personne, ce qui est assez rare, je dois avouer. Je joue avec vous un jeu dangereux, auquel vous perder souvent. Je suis une brise-coeur, une brise-rêve, et je vous démentèle.
Vous êtes le maillon faible, au revoir. - Joleene White -.
Passions, Phobies ¤¤ Passions, phobie ! A quoi rime tout ça ?! Pour être franche, et je dois bien l'avouer, j'ai la phobie la plus idiote que l'on peut avoir sur cette vaste et pauvre terre ! J'ai peur de m'attacher à quelqu'un. C'est horrible comme sensation. J'ai peur, c'est tout. Non, pas de vous, mais de mes propres sentiments. Je vous vois approcher, plein de gentilesse,et aussitôt, c'est le déclic. Je vous jette. L'autopréservation me tuera, mais d'un autre sens, ça me protège de vous, non ? Pour ce qui est de la passion, j'aime les photos, et surtout celle que je prend de Jack, qui est photogénique ! Mon autre passion est la musique... Que voulez-vous, on se refait pas...
Tu me coûtes plus cher que ce que tu me rapportes !
Faudra penser à bosser pour te payer ton appareil ! - Sharleen White -.
Physique ¤¤Je suis l'identique copie pâle et monstrueuse de mon père, tout comme Jack. Un pâle reflet sur un miroir cassé. Assez grande, environant le mètre soixante seize, pour à peine une soixantaine de kilos, suite aux longues et douloureuses dépressions dont j'ai fait l'objet pour quelques raisons que vous vous devez d'ignorer, et... Et... Je me haïs d'être aussi mal foutue. Mal foutue ? Oui ! Grande et mince ! Musclée grâce à la boxe que je fais depuis cinq ans, et que je n'ai pas arrêtez ! Maudit de ces yeux émeraudes que mon brave père m'a légué ! De ces cheveux bruns qui tombent sur mes épaules en une cascade rebelle, et dont certaines mèches guichés gaffent sur mon front ! Je me haïs, c'est naturel de se haïr, quand on est copié par trois. Pâle, c'est ce que je suis, comme toutes les bonnes italiennes de Bohème. Pâle comem la lune aux yeux olives, et aux cheveux parfois noir de jais, parfois d'un brun assez foncé. Je suis la copie du mal incarné, pâle et banale. Ba-na-le.
Tu ressembles bien à ton bon à rien de père !
Tout juste bonne à être engrossée ! - Sharleen White -.
Particularités ¤¤ Il fallait bien compenser ma banalité, non ? Alors j'ai fait ce que l'on appelle des folies. Sur ma fesse gauche, chose que peu de gens à vue, j'ai tatoué " It's my ass ", et ne me demandez pas d'où ça vient, je crois que c'est de famille, et un dernier est sur ma joue, oui, oui, vous avez ben entendu, j'a un tatouage sur la joue droite. Une étoile est tatouée, miniscule, certes, mais visible de tous, tous ceux qui m'ont approchés à moins de trentre pas. J'aime ce tatouage... Car il est noir, et poétique à la fois. Black Star.
Tu te crois être une étoile ?
Car aussi non, tu brille peu... - Joey White -.
Style Vestimentaire ¤¤Je me fringues comme je peux. Jack étant skateur, je lui piques souvent ses pants, pour les T-shirts, je pique dans les armoires de James, étant donné que ce fils à papa est le plus riche des quatres gamins. Que voulez-vous, les malheureux profitent des morts... C'est morbide, non ? Et pourtant. Je me dis parfois que ces vêtements sont un signe, et que Aimeric m'aurait peut être aimé. Mais qu'importe ! Je porte les fringues emo de James avec les Pants Skateurs de Jack, sans compter mes écrases-merdes que j'aime ! Bien sûr, j'ai aussi ma garde robe, mais à vrai dire elle n'est pas riche.La plus part de mes pants vont en miette, comme celui que je port ele plus souvent, et mes T-shirts sont la risée de tous, mais je les aime.
Tu pourrais éviter de chier dans tes frocs, White ? - ?? -.
Pourquoi ? Car ils sont à moi, c'est comme ça. Comme pour mon physique, j'essaye de faire au mieu pour montrer que je ne suis pas un mouton, et parfois même, j'imprime moi même mes T-shirts. Quelle marque ? Pourquoi faire une marque ? Je ne suis pas un produit de con-somation, notez le pour la suite. Il est souvent écrit sur mes T-shirts mes phrases, à moi seule, et je les customize comme je peux... Mon T-shirts préféré... ? Il est d'un gris méchant, et dessus, le signe des Lesb. Oui, je sais, je frappe fort, mais je m'en fous... Je le suis pas de toute façon ! Ah, ça aussi, c'est à marquer, hein. Mes écrases merdes... J'ai qu'une paire façon, alors je me démmerdes comme je peux. Mes sous vêtements ? Et ma main dans ta... ?! De toute façon, j'ai toujours eu des goûts de chiotte... Et je vous en, hein...
¤¤¤ Quiet... Please... Stop... Voice... Stop... ¤¤¤
¤¤¤ Stop ! ¤¤¤