[Fiche Modèle] Américo Sanchez

Américo

- Good Charlotte, The River... --

|| => Partie Administrative ::...

Nom + Prénom : Sanchez, Américo.
Age + Date de Naissance : 21/07/1987, il a donc, 20ans.
Nationalité ethnique : Américano-Mexicaine.

Famille : La Famille Sanchez est originaire du Mexique. Cette dernière vient du vieux continent et s'est implanté au pays méxicain en même temps que l'inquisition faisait rage en Europe. Cette dernière est une longue famille catholique et dont les croyances ont toujours été au centre de la vie familiale. Néanmoins, et heureusement, lors de la migration d'une partie de la famille Sanchez vers les Etats Unis, dans les alentours des années 20, au XXième siècle, le côté pratiquant s'est dissipé. Jusqu'en 1980, la famille Sanchez s'est installée dans plusieurs villes, notament, San Francisco. Ce n'est qu'en 1980 qu'ils vinrent se poser à Los Angeles, s'intégrant du mieux qu'il pouvait bien que le fils aîné entrait à l'université de Los Angeles pour y travailler dans le droit. Miguel, le fameux fils, y rencontra une jeune et jolie étudiante en médecine sur le campus dans les années 1982-83. Cette dernière se nommait Tracy Vine. Ils se fréquentèrent jusqu'à la fin des études de Miguel. Ce dernier, qui s'était prit un appartement, avait demandé à Tracy de venir s'y installer. En 1985, ils habitèrent ensemble alors que Miguel devenait avocat, et un an après, ils se marièrent. L'année d'après, non loin après la date des derniers examens pour l'obtention du diplome en médecine urgentiste, Tracy tomba enceinte du jeune Américo. S'ensuivit, deux ans après, Enrique, puis un an après, Flor, et enfin, Gil alors qu'Américo n'avait que 6ans.

Les relations entre les membres de cette famille sont plus ou moins sous tension. Etant très rapproché dans l'âge, ils étaient tous plus ou moins dans une crise d'adolescence aux mêmes moments. Néanmoins, cela semble se calmer bien qu'on aurait put penser à tout sauf à cela. Surtout venant d'Américo qui avait faillit mal tourner lors de sa deuxième année au lycée avant de rencontre John Corso, son ami depuis le collège, maintenant. Enrique est l'hispanique pur et dur. Phallocrate jusqu'aux bouts des ongles à seulement 18ans, c'est également un génie. Il entre lui aussi à l'université en section droit, contrairement à son frère aîné qui se lança dans la medecine. Flor, quand à elle, est une fille brillante, mais un peu tétu, voir rebelle à ces heures perdus. Elle ne supporte pas Enrique, mais elle s'entend à merveille avec Gil, son frère de 15, qui semblerait il, serait assé éfféminé. Ils sont tous les deux en lycée, non loin de la maison, et dans le même qu'Américo avait fait ses études. Miguel (48ans), le père, est procureur désormais. Touchant bien sa vie, il permet à sa famille de vivre tranquillement financièrement, bien que Tracy (48ans) y ajoute un pécul non négligeable du faite qu'elle soit chef des internes aux Urgences de la ~~> Pitié <~~.

Section Choisi(e) à l'Université : Médecine, 1er Année.
Langue(s) parlée(s) et/ou comprise(s) : Américain [P. & C.], Espagnol [P. & C.].
Exerce t il un métier? Il est secouriste chez les Pompiers depuis quelques semaines, déjà, après avoir subit une formation accélérée.

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- Ill niño, What comes around.

Mode "JE".

Caractère : Hum... J'ai un caractère assez chaud, et ça dans tous les sens du termes, héhé. Non, je déconne. Enfin, pas trop, quand même. Je reste un peu dans le vrai, même si je sors cela sur le ton de la plaisanterie. Ca fait moins vantard. Puis, le rôle du vantard est déjà pris par l'ami Corso. Alalala... Enfin, bref. Puisqu'il faut se décrire autant tenter de rester dans le vrai et de faire preuve de modestie, nan? Vous avez vu? Chui un bon gars, quand même. Héhé... Oui, bon, ok, j'arrete.

J'ai un caractère suffisamment chaud pour savoir que je suis très directe et que je ne regarde pas si je frappe un gros baraquet ou une baguette de sucre. Nan. On me fait chier, je frappe avec la même ardeur, bien que les ripostes ne sont pas toujours les mêmes. Hum... Néanmoins, je ne déclenche jamais de bagarre. C'est généralement Corso qui les déclenche donc après, je me sens obligé de l'aider. Et puis, c'est tellement marrant de frapper les bouffons. Qu'ils soient gros [Bibendum, bien sûr!], maigres, blancs, beurres, noirs, jaunes, verts [Le sosie de « J’dois aller sur mars dans 30 secondes »], rouges [Ceux qui ont les coups de soleil, bien sûr]. Enfin, peu importe comment ils sont, les frapper procurent toujours le même plaisir. Oui, je suis sadique. Bah, quoi? Nul n'est parfait. Vous devriez bien le savoir, nan?

Hum... Contrairement à Claire qui est une pile électrique, moi, je suis un générateur nucléaire. J'aime tous ce qui fait du bruit, et j'en fais, j'aime beaucoup bouger et faire la fête avec des potes. J'aime pas ne rien faire. Certes, je prends toujours du temps pour glander, mais à un moment donné, ca me gonfle. Donc, à ce moment là, je fais chier mon entourage pour qu'on fasse quelque chose, qu'on bouge, qu'on danse, qu'on chante, qu'on aille casser du Vitaly, enfin, un truc quoi. Oui, je suis rancunier. Je parle beaucoup de ce Vitaly car c'est un con. Se faire la copine de mon meilleur ami, c'est comme si il avait blessé mon frère. Donc, va falloir qu'il paye, un jour ou l'autre, les pots cassés. L'addition sera fortement salé, bien entendu, et là, je ne pense pas avoir de pourboire. Dommage... Nan, je suis quelqu'un d'assez survolté, mais jamais je ne fais du mal aux gens si auparavent, ils ne m'en ont pas fait. La violence ne rime à rien pour s'imposer, néanmoins, lorsqu'on me casse les couilles, j'aime l'utiliser pour faire retomber les vapeurs.

Je suis quelqu'un qui a un sens de l'amitié et de l'honneur super développé. Je peux faire n'importe quoi pour un ami et pour mon honneur. Ce sont deux choses ultra-sacrés chez moi, et lorsqu'on me blesse, je peux devenir très méchant. Si je ne fais pas du mal volontairement aux gens d'habitudes, là, c'est tout le contraire. Je pourrais me montrer véritablement comme un SALAUP. Et j'utiliserais toutes les armes que j'ai en ma possession. Je suis quelqu'un qu'on apprécie généralement, mais je me montre souvent arrogant voir insolent. Je ne mâche pas mes mots, donc, ça ne plait pas à beaucoup de monde, mais au moins, je n'ai rien à cacher. Ah, je suis assez intelligent, modeste [Ha bon?] et suffisament protecteur, pour que des fois, ça tourne à la jalousie.

MODE "IL".

Comportement : Allure générale, sa façon de réagir, de vivre. Comment est il aux premiers abords ? Au premier abords, Américo est quelqu'un de chaleureux et de super social. Il ne va jamais se faire des idées sur une personne sauf si elle a un look vraiment étrange, et il ne critiquera que rarement une personne qu'il ne connait pas. Vitaly, c'est différent, mais bon, que voulez vous. Il a une façon de vivre très espagnol, ce qui le retarde beaucoup dans les journées, et pendant les cours, le matin, c'est trés dur. Peu importe la situation, il réagira de la même façon: Sur un accès émotionnel, ce qui peut lui valoir plusieurs mauvais tours.

Passions, Phobies : Passion? Hum. Il en 4. Ses amis, la musique, la vitesse et sa culture. Oui, c'est assez résumé, mais, pour lui, ceux sont les 4 éléments indispensables à son évolution au travers de la société. Ses amis, car avec eux, il passe de trop bon moment à déconner, comme il peut en passer des mauvais à se taper dessus ou à se disputer assez violement. Mais généralement, ca se calme une fois l'orage passé. La musique? Parce que c'est un moyen, pour lui, d'évasion. Il est passionné par le Rock, et il en joue depuis près de deux ans. C'est là où ils ont connu Claire et Roy. Ils sont super sympas, et on rigole bien avec eux. La musique les a fortement rapproché et il joue sous le nom de "Shut Up! I Speak." Ensuite, la vitesse. Son père lui en a donné le gout lorsqu'il était beaucoup plus jeune et c'est l'une des seules passions qu'ils aient en commun. La vitesse signifie "Liberté" pour Américo. Et puis, c'est tellement exitant... Et Enfin, la culture mexicaine est, pour lui, le commencement de sa vie. C'est assez compliqué à expliquer... Hum... En faites, pour lui, sans les anciens, rien n'aurait été fait. Il se sert de sa culture pour avancer dans la vie. Tirer des leçons du passé pour avancer dans l'avenir. Puis, la culture mexicaine est la meilleure en tout. héhé...

Ensuite, pour les phobies, il en a deux. Êtres enfermés dans une pièce sans fenêtre, ni rien, ou dans une grotte. En gros, il est claustrophobe. Ensuite, sa seconde phobie, c'est le fait de ne plus pouvoir bouger... Tout est lié, en faites, dans ses phobies. C'est assez compliqué à expliquer...

- Hoobastank, Crawling in the dark.

Mode "Je".

Physique : Hum. Comment me décrire pour ne pas paraître prétentieux...? Bon, comme tous le monde le sait, l'être humain est pourvu de deux bras [Trois pour les hommes, SORT=>] et de deux jambes. Une tête, deux yeux, deux oreilles, une bouche, bref, tout ce qu'il nous sert pour diverses utilisations [Vous en faites ce que vous voulez, moi, je ne veux rien savoir de vos occupations!]. Hum, bah, vu mes origines mexicaines par mon père, j'ai le teint de peau assez basané, les cheveux bruns très fonçés, sûrement à cause de ma mère, et des yeux noirs, qui me viennent de mon père. Je suis de taille moyenne, environ 1m 78, 79... Bon, 1m 80 et on en parle plus. Ma corpulence est plus ou moins proportionnelle à ma taille. Je ne suis ni trop gros, ni trop maigre. Et euh... C'est tout.

Particularité(s) ?: Bah, une paticularité... Pourquoi j'en aurais une? Oui, enfin, bon. J'ai qu'un tatouage qui part du coude et qui remonte jusqu'à l'omoplate. C'est une sorte de tribal qui se termine sur l'omoplate en un soleil, toujours en tribal. Mes parents ne sont pas au courant de cela. Mon père est contre, et ma mère se ferait du soucis à tords et à travers à cause de l'higyène. Une mère médecin, c'est bien, mais casse couille. Néanmoins, je ne l'exhibe pas à tout va. Même lorsqu'il fait chaud et que je suis en ville. Je ne suis pas le genre de gars à me ballader torse nue pour épater les filles. J'laisse ça aux péteux.

Style Vestimentaire: Mon style vestimentaire varie selon mes envies du jour. En effet, certains jours, ca frisera l'emo, alors que le lendemain, ce sera jogging et tee-shirt. Généralement, je suis habillé avec des vêtements légèrement ample, bien que je mette un peu de tout. Je ne suis pas un sk8teur, ni même un fashion. Je ne fais partit d'aucun groupe. Je suis omniprésent dans chacune des catégories. Bon, ça dépend laquelle... Hein? =P, parce que je ne serais jamais Punk ou hippie... Imaginez vous combien de temps, il faut rester sans se laver pour avoir le bon look? Beurk! Rien que de savoir ça, c'est impossible qu'un jour je puisse m'habiller de la sorte. Non, je suis habillé, de façon générale, plus tiré vers le rock que vers le rap, bien qu'il ne soit pas rare que je revête un jogging dix fois trois grand.

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- Lostprophets, Burn, Burn.

Mode "JE".

Histoire : Ma vie a débuté le 21 Juin 1987 à Mexico, au Mexique. Néanmoins, je n'y suis pas resté. En faites, je suis né là bas, mais je n'aurais pas du, car ce n'est pas là qu'habiter ma famille. Si vous voulez, mon père exhibait ma mère à toute la famille Sanchez. D'ailleurs, ils apprécièrent beaucoup ma mère pour son côté franc et sa façon de parler l'espagnol qui leur avait fait bien rire. En effet, son espagnol à elle, était beaucoup trop littéraire, comme on l'apprend à l'école, voyez vous. Et c'est donc, chez mon oncle Alejandro, que je naquis. Marre d'être dans ma mère. Fallait sortir car je commençais à étouffer.

Enfin, bref, mon père avait choisi mon nom sans consulter ma mère. Néanmoins, elle adorait ce prénom. Heureusement pour moi, sinon, c'aurait été super d'avoir un nom que ma mère n'appréciait pas tellement. Si je ne me souviens bien pour mes deux frères et ma soeur, il me semble que ma mère n'ait jamais eu mot à dire, ou alors, si, mais c'était mon père qui lui soumettait une liste composée que de nom à consonnance hispanique. 'Fin bref... J'avais deux mois, je crois, lorsque nous repartîmes à Los Angeles où je commenàa à faire mes premiers pas dans une crèche pour travailler ma socialisation avec les autres enfants de mon âge pour pouvoir faciliter mon entrée en Maternelle l'année d'après.

Enfin, bref, je ne fis rien de passionnant pendant les 8 prochaines années qui suivirent mon entrée à la maternelle. En effet, avec l'école et les batailles entre frères, j'en eu des occupations, jusqu'à mes 7ans. La nounou qui nous gardait n'en pouvait plus et elle avait menacé ma mère de se barer si elle ne faisait pas quelque chose. La seule solution. Me faire faire du sport. Néanmoins, moi et le sport, si ca ne bouge pas, enfin, que c'est un sport individuel sans interet, je n'aime pas ça. Mais avec ma passion pour la vitesse qui avait naquit lorsque j'ai vu mon père la première fois, faire de la moto sur un circuit. Ce jour là, je devais avoir 5ans, bah, j'ai tout de suite voulu en faire, alors, ma mère m'a mis au kart le temps que j'ai la taille voulu et la force nécéssaire pour me mettre à la moto. A 8ans, j'eu droit à une piwi, un modéle Kawasaki - 50 cc. Je m'éclatais trop avec, et j'en eus des gamelles plus ou moins graves. Mais ce qui comptait le plus pour moi, c'était le fait que mon père me surveillait avec un sourire sur les lèvres. C'était sensationnelle, et ca me rendait fière de voir mon père fière de moi. Depuis la première fois, qu'il me vit faire de la moto, il s'est créé entre nous une sorte de lien si fort que par la suite des évènements et de mon évolution, j'avais beau faire chier mon père, comme lui le faisait en retour, jamais il n'eut à me frapper. Sauf lors de mes 14ans. Mon père venait d'obtenir le poste de procureur, et son fils s'amusait avec Corso à foutre le bordel dans le bureau du proviseur et de le recouvrir de papier cul. Enfin, bref... Je reviens. Envie pressante.

Revient après s'être absenter pour se vider la vessie. Un sourire aux lèvres, les mains encore humidifiés par le lavage qu'elle eut reçu. Visiblement, il était propre. Maintenant, vous ne pourrez pas en douter. XD.

Oué... Comme je disais, à mes 14ans, ca chauffa dur chez moi. Corso avait eut cette merveilleuse idée pour se venger du proviseur qu'ils les avaient collés une semaine parce qu'on avait eu la merveilleuse idée de ridiculisé Scott Summers. Ma foi! Ce dernier cassait les couilles à tout le monde! Bon, j'avoue qu'on y était allé un peu fort. Le ridiculiser de la sorte... Jamais, on aurait du lui prendre ses vêtements après la natation et l'y poussait dans le bassin. La classe qui venait juste après s'était bien foutu de leur gueule et plusieurs vinrent nous féliciter, comme Jay Dos Santos ou encore Enzo Pacetti. Ah, c'était la bonne époque car au lycée... Ce dernier était suffisament étrange pour nous tenir en haleine et ne faire chier que les profs... Ils sont cons comme des manches à balai, aussi... Bon, en même temps, il y avait de quoi.

Je sais pas si vous connaissez l'histoire de CHG... 'Fin, bref... C'était un lycée hanté. Ca fout pas les j'tons, c'est sûr que raconté comme cela... Mais pour le croire, il faut le voir, le vivre. Des tâches de sangs surgissant des murs... Des cris et des bruits bizarres à faire froid dans le dos dans les couloirs pourtant vide... Des classes mise à sac sans qu'on y trouve de suspect. Bien sûr, le corps enseignant avait pensé à une sorte de symbole fait dans les champs de maïs... Merde, le mot m'échappe... Bon, passons. Mais aussi que les hauteurs n'étaient pas comme tout le monde le disait, les esprits restant de l'attentat de 1956, non, mais bien les élèves qui venaient la nuit pour voir ce qu'il s'y passait. D'ailleurs une nuit, trois élèves y sont entrés. Même la police les avait vu car ils faisaient souvent des rondes non loin du lycée à cause des hypothèses ratés du poviseur... Quel con, ce type... Enfin, c'était des études assez passionnante, et jamais j'en ai revécu... Peut être que l'université l'est...

Américo éclata de rire à la fin de sa phrase. C'était étrange, car ce dernier semblait vraiment plaisanté. Il n'allait pas être au bout de ses surprises.

Sinon, durant c'te période mouvementé, ce le fut aussi dans ma vie. Enfin, mouvementé... les conneries des adolescents quoi... Lors de ma première, je rencontra pour la première fois une française. C'était assez étrange puisqu'à cette époque là, les Etats Unis et la France étaient en bisbis pour des histoires de guerre en Irak. Ces derniers avaient refusé d'y prendre part. Sage décision. Les Etats Unis par contre... Enfin, je ne dis que rarement du mal de mon pays, mais, on n'a pas assurer un crayon. Ma mère s'est directement mis du côté contre le gouvernement. Mais elle s'était plus parce qu'elle refusait catégoriquement que ses fils partent au combat. Heureusement que ce ne fut pas obligatoire... Je n'ai pas la fibre à faire du mal aux gens... Mais plus, de leur venir en aide... 'Fin, je ressens une envie d'être utile, de me sentir... Hum... Comment expliquer... M'enfin, vous devez sûrement voir ce que je veux dire, je vais continuer... Claire Storm, elle s'appelait. Un beau petit lot. Même si c'était français, Américo était assez charmé. En même temps, son comportement était génial. Cette façon de casser ce mythe Angelinos avec toutes ses gonzès refaites... C'est vrai, elles sont jolies, mais pour le moment. Des gars comme Corso s'amuse à se les tirer, mais attend voir dans 10, 15ans. La seule que je connaisse dans toutes cette bitch generation, c'est Lucy Spencer. C'est con, mais c'est la seule qui ne soit pas passer sur le billard.

Claire était sortit avec Corso, évidement. Néanmoins, cela dura quand même 15 jours. Un record pour Corso si on ommis sa relation avec Kath qui avait duré 1 ou 2 mois, je crois... Corso, à cet époque, avait quitté son groupe de musique, et il avait décidé de créer son propre groupe. Tant mieux... Bah, quoi, au moins, je fais de la musique maintenant!

A nouveau, il rigole.

Mais, si j'en fais, c'est grâce à Corso. Il trouvait que j'avais une voix qui donnait bien. J'ai toujours pensé qu'il devait avoir les oreilles tout aussi détruit que ses poumons, mais bon, je n'ai pas cherché longtemps à le contredire... En parallèle, moi, j'avais passé le permis moto. Mon père me l'avait payé pour mon passage en Terminal. Sur ce coups là, il avait assuré le padre, et j'crois que jamais, je ne fus plus heureux... Néanmoins, cette même année, alors qu'on avait prit Corso à la maison car il avait des problèmes chez lui, j'eus un accident avec la moto de mon père... Une 600 cc... J'crois que c'était le 636 de chez Ducati... Une magnifique couleur rouge... Malheureusement à cause de ce pédé d'automobilisté qu'il m'avait coupé la route, je fis un vol plané monumentale pour m'écraser dans la vitrine d'un fleuriste... J'vous raconte pas l'état de ma mère quand elle m'a reçu aux Urgences. En même temps qu'elle me soignait, elle ne cessait de me crier dessus. Je fus débarassé d'elle, lorsque je partis sur la table d'opération pour qu'on me retire le bout de verre qui me traversait le flanc droit, ratant de peu mon foie. J'ai une trés belle cicatrice, maintenant.

Il sourit, et il souleva son tee-shirt pour nous montrer.

A ma sortie, ma mère avait changé de comportement, et c'était mis au dramatique. Pleurant comme si j'étais mort, m'accusant de suivre la voie tordu de mon chèr père... D'ailleurs, il en prit pour son grade ce jour là. J'étais assez ensuqué pour leur expliquer ce que je me souvenais de l'accident, c'était un flic qui leur avait compté l'histoire... MA mère s'était calmée et s'était mise à pleurer dans les bras de mon père qui avait du cesser une affaire en cours de jugement. Depuis, je n'ai plus de moto, et j'ai bien les boules. Ma mère ne veut plus que je remonte sur une jusqu'à mes 21ans. Elle a fumé, elle... Sinon, je fais partit du groupe "Shut up! I speak" où je chante depuis notre première... Voilà! Ha oui! J'ai passé durant toute mon année de terminale, et en parrallèle à mes cours, j'entra dans un truc de formation chez les pompiers. J'y appris les bases de la médecine, les premiers soins et tout pour être secouriste, vu qu'ils en recherchent les pompiers, je m'y suis inscrit car je pense que ce serait formateur pour moi, au fur et à mesure que le temps passerait. Entrez en FAC de médecine avec ce bagage... Enfin, ne mettons pas les cheveaux avant les charrues. La réponse à mon exam', je ne l'aurais que dans le courant fin Août, mi septembe.

Il se leva, et quitta la salle.

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- Rammstein, Reise reise.

Prénom IRL : Benjamin.
Age : 17ans.
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